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  • : Blog de Vincent, coureur ASPTT Paris Jogging
  • : Point de vue d'un passionné de course à pied au travers de ces diverses sorties solo ainsi qu'au sein de son club.
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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 19:23

Strengthening your lower body is one of the best ways to build speed, says former world champion marathoner and physical therapist Mark Plaatjes. Do these five exercises two or three times a week during base training.




Single-leg Squat
Squat down on one foot until your leg is bent about 50 degrees; push back up. "Keep your hips even, and your knee over your foot," says coach Bob Larsen. Once you've mastered the move, add dumbbells (start with 5 pounds).
Reps: 2 sets of 10; build to 3 sets of 12
Strengthens: Quads and glutes




Balance Run
Stand on a flat-bottomed stability trainer (or a narrow board). Hold light dumbbells (2 to 5 pounds) and swing your arms in a running motion. Keep your knees slightly bent and your abs tight.
Reps: 3 sets of 30 seconds
Strengthens: Core muscles and hones balance




Heel Raises
Stand on a curb or platform with your heels over the edge. Lift up onto your toes, raise one foot and slowly lower. Once you have the move down, add dumbbells (start with 5 pounds).
Reps: 1 set of 8; build to 3 sets of 15
Strengthens: Calf muscles and Achilles tendon




Hamstring Push-up
Lie on the floor with your feet
on a chair or Swiss ball that's against a wall. Lift your butt off the floor, then lift one leg off the ball. Slowly lower your body to the floor, using the hamstring of the supporting leg.
Reps: One set of 8 on each leg; work up to 3 sets of 12
Strengthens: Hamstrings




Plank + Lift
From a push-up position, drop onto your forearms. Focus on pulling your abdominals in. Then lift one foot about six inches (keep hips square to the floor), hold for five seconds, and repeat on other side.
Reps: Continue for 60 seconds, build to 3 minutes
Strengthens: Core and glutes individually

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 19:14

Quel est le point commun entre un multiple champion de France sur marathon, un journaliste et un chiropraticien ? Tous les trois ont écrit cet article. Mais encore ? Tous les trois sont marathoniens. Samir Baala (2 h 18’ 28”), Philippe Vogel (2 h 54’) et Éric Lehmann (3 h 34’), trois coureurs avec une « cylindrée différente », mais avec la même question avant de s’élancer sur un marathon : « Que va-t-il arriver une fois le 30e kilomètre passé ? Les jambes seront-elles encore là ? »

 

Les jambes, un élément clé
« La musculature est plus importante que le souffle. À partir du 30e kilomètre, cela devient un effort musculaire plus qu’un effort aérobie » explique Samir Baala. Bien sûr, la réussite sur marathon passe par un entraînement structuré, mais il est tout aussi important, voire plus, de préparer ses muscles à accumuler les kilomètres. Des études ont montré que les exercices réguliers des jambes amélioraient la gestuelle et l’économie de course de plus de 8 %, ainsi que la manière dont le corps utilisait l’oxygène. Ce qui se traduit par une plus grande vitesse et une meilleure endurance musculaire. Il est donc assez intéressant d’intégrer des exercices de renforcement musculaire à votre entraînement. Nous avons demandé à Éric Lehmann et Samir Baala de réaliser une série d’exercices afin de vous apporter un maximum de force en un minimum de temps. Leurs conseils portent sur le renforcement des membres inférieurs et la stabilité de la ceinture abdominale. « Ce programme va vous permettre d’améliorer la gestuelle de course, d’augmenter la résistance musculaire, mais aussi de diminuer significativement les risques de blessure » annonce Éric Lehmann. Ces exercices peuvent être réalisés chez soi, en 15 minutes environ. Désolé mais les exercices sont expliqués dans la langue de Shakespeare.

 

Des jambes puissantes = un corps solide
Lorsque vous courez, votre ceinture abdominale et vos lombaires travaillent pour stabiliser et maintenir votre colonne vertébrale. « C’est votre bassin qui fait la transition entre les jambes, qui propulsent, et le corps, qui avance. Il est indispensable de contrôler sa position pendant l’effort » explique Éric Lehmann. Si votre sangle abdominale est trop faible, vos jambes doivent fournir un effort plus important pour vous faire avancer. Un gainage insuffisant favorise souvent l’apparition de douleurs lombaires lors des derniers kilomètres d’une course éprouvante. « Lorsque l’on atteint ses limites, le bassin bascule exagérément vers l’avant. »

 

Réduire le désequilibre

L’hypertonicité des quadriceps est l’autre élément qui aggrave souvent l’antéversion du bassin. En effet, ce sont les muscles de l’avant de la cuisse qui assurent le verrouillage du genou au moment de l’impact du pied au sol. En revanche, ce sont les ischio-jambiers et le grand fessier qui assurent la propulsion lors de la course. Par conséquent, les quadriceps sont naturellement bien plus résistants que les muscles postérieurs de la cuisse. Ce déséquilibre nuit à vos performances et favorise l’apparition de blessures. Outre le déséquilibre entre l’avant et l’arrière de l’abdomen et des cuisses, il faut aussi réduire les différences de force entre la jambe gauche et la jambe droite. Pour cela, il faut travailler chaque jambe séparément. Ces déséquilibres droite/gauche peuvent eux aussi être responsables de blessures et de mauvaises performances.
Voici une série d’exercices simples, dont le principe est basé sur une contraction de type excentrique. Normalement, la contraction musculaire a pour objectif de raccourcir le muscle. Avec ces exercices, le muscle va s’allonger en même temps qu’il est sollicité. Cela s’apparente au travail musculaire des quadriceps sur une pente à fort dénivelé. Prenez un peu de temps à la fin de séances faciles (2 fois par semaine), vous ne le regretterez pas… Surtout dans les derniers kilomètres d’un marathon !

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 19:30

Lundi, histoire de récupérer des efforts de dimanche. Petite séance de 45' d'endurance puis 3 fois 8' au seuil avec 2' de récupération et 15' endurance pour finir. Trail-Valendro.jpg

 

Mardi, les cuisses et les mollets encore un peu durs mais 1 bonne petite séance d'endurance d'1h20.

 

Au programme, je teste au passage les nouvelles Hoka Bondi B. Première sensation, elle me paraisse un peu lourde (390g) mais un excellent amorti. Surtout à ne pas utiliser pour des sorties rapides.

 

Légère tension dans les mollets provoquée, je pense par la semelle compensée.

 

Nous verrons par la suite, peut être qu'avec le tassement, elle s'avèrera un atout précieux dans les courses d'endurance 100 km et autres.

 

Ce soir, sortie un peu plus tonique, 8 fois 800 m avec 1'30 de récupération après 40' d'endurance puis 15' d'endurance pour finir.

 

Véro 2En rentrant, j'ai un message de Véronique Bornel qui me dit s'être blesser à l'entraînement. J'espère qu'elle sera rétablie pour l'UTCO le 28 mai.

 

Pour ceux qui le désire voici 60 km environ des 85 km de l'UTCO en commentaire et en images.

 

Reco faite par mon ami, Reynald.

 

http://fulgurex.kikourou.net/billet.php?idbillet=53.

 

Reynald-2.jpgMaintenant repos jusqu'à samedi pour le Semi de Nuits St-Georges et Dimanche, je prendrais un bol d'air de 40 km en VTT dans les bois d'Ahuy et Messigny.

 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 18:43

C'est sur les recomandations de mon ami Reynald, aficionados d'ultras et Ufo sans limites que je me rendis sur l'arrière côte beaunoise. A Meursault, ce dimanche, ce n'était pas pour faire les descentes de caves mais plutôt pour se retrouver entre amis.

 

C'est sur l'initiative de Jean Christophe Gros que naquit il y a 5 ans déjà le Challenge Valendro. Cette initiative, permettre par des trails courts (moins de 20 km) à la portée de tous de découvrir l'arrière côte bourguignonne.

 

Donc direction Meursault pour un Trail d'à peine 15 km, histoire de découvrir de nouveaux sentiers. Cette fois-ci, pour moi, c'était le découverte du camp celte du Mont Milan.

 

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 14:33

Préparez votre prochain objectif, en vous testant juste avant sur une distance plus courte. Qui sait, peut-être allez-vous enregistrer deux records au lieu d’un seul !

 

Trois semaines avant de devenir la première Américaine à passer sous la fameuse barre des 2 h 20’ au marathon (Londres, 2006), Deena Kastorne s’était adjugé un autre record, sur semi-marathon : c’était à Berlin. Autre exemple : trois semaines avant de gagner le marathon de Chicago, en octobre dernier, elle s’était également imposée au semi de Philadelphie.


Deena a tout simplement utilisé ses semi-marathons comme des courses de préparation, trois semaines avant ses objectifs principaux. Une sorte de répétition générale, sur une distance plus courte, pour se préparer mentalement et physiquement avant le marathon.


 Cet ultime réglage est fondamental pour beaucoup de coureurs professionnels, comme Samir Baala, champion de France de marathon 2008. « Vous sortez un peu du cadre de l’entraînement, cela rompt avec la monotonie, explique Samir. C’est surtout vrai pour les marathoniens, à condition de ne pas trop rapprocher la course de réglage de votre objectif final. C’est comme une préparation grandeur réelle, cela permet de travailler son allure et de penser à sa stratégie de course. » Ces courses plus courtes vont vous permettre de trouver votre allure de compétition, d’affiner les derniers détails et de préparer votre stratégie de course. En outre, elles vous habituent aussi à fournir un effort plus intense. « Vous vous êtes habitué à courir en surrégime et, forcément, vous vous sentirez plus à l’aise sur une distance plus longue. Attention cependant à ne pas vous laisser griser au départ et à dépenser trop tôt vos réserves » analyse notre expert, marathonien en 2 h 18’.

Ces courses de préparation font souvent la moitié de la distance de votre objectif. Les courses plus courtes demandent moins de récupération et vous pouvez donc reprendre votre entraînement sans vous épuiser. Vous pouvez même courir une distance encore plus courte et plus proche de votre objectif. Un 5 km peut être assez efficace une semaine avant un marathon par exemple. Et, grâce à la préparation intense que vous venez de faire, vous pouvez engranger un nouveau record, voire réussir un doublé.

 

Le début de quelque chose de grand

 

Les champions, font souvent leurs courses de préparation à une allure maximale, car ils habituent leur organisme à tout donner lors de la course, en l’obligeant à puiser dans ses réserves, comme vous le ferez sans doute lors de la compétition. L’autre stratégie consiste à courir cette course de préparation au même rythme que celui de votre véritable objectif. « L’intérêt de cette méthode est de permettre à votre corps de mémoriser la bonne allure, explique Samir. Cela peut aussi être réalisé à l’entraînement, grâce à des séances au train, c’est-à-dire à allure course. » Un rythme moins poussé est également plus facile à gérer et vous récupérerez plus vite. Les coureurs aux blessures ou les compétiteurs craignant d’entailler là leurs chances de record quelques semaines avant leur objectif peuvent faire une course de préparation à l’allure prévue pour leur objectif.

 

Ces courses de préparation, sur la moitié de la distance de votre objectif, marquent habituellement la fin de la grosse préparation et le début d’une période moins intense. Généralement, ce sont les deux ou cinq dernières semaines avant la grande course. Des courses plus courtes peuvent être prévues à mi-parcours. Le moment exact dépend de la distance de l’objectif visé (voir notre encadré « Chronologie de la course de préparation »), mais votre calendrier de course sera probablement le facteur déterminant. Si vous avez le choix de la date, tenez compte de la récupération après votre course de préparation, afin de garder assez de fraîcheur pour votre véritable objectif. Les coureurs de plus de 50 ans ou les débutants devront prévoir une course de préparation encore plus en amont. Choisissez une course vallonnée ou plate, mais qui est proche des conditions réelles de votre objectif.

Se préparer aux conditions réelles

 

 

Si vous ne vous sentez pas trop en forme, conservez simplement votre allure normale sur toute la course et ne vous préoccupez pas du temps. Une course de préparation n’est jamais indispensable à votre préparation. « Indépendamment de la façon dont vous serez capable de courir et de votre temps final, analyse Samir, cela va surtout vous préparer aux conditions réelles de la compétition. »

Si vous choisissez de courir votre course de préparation à allure compétition, Samir Baala suggère de courir les deux tiers de la course à l’allure de votre objectif final et d’augmenter votre rythme sur le dernier tiers. Par exemple, si vous courez un 10 km de préparation pour préparer un semi-marathon, vous pouvez courir les 7 premiers kilomètres à votre allure semi-marathon, puis accélérer franchement dans les 3 derniers kilomètres.

Infos Runner's world

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 14:04

Hier se déroulait le Trail de la Pérouse, 25 km dans les combes de Plombières, quel meilleur façon de reprendre le goût à la compétition.

 

Même si pour moi, il s'agît davantage de faire une sortie longue de plus de 2h afin de tester la mécanique.

 

Perouse1.jpg9h30, le départ est lancé mais ce parcours inversé  fait partir le peloton bien  vite. Mais j'ai de bonnes sensation, mais nous n'en sommes qu'au début de course.

 

Je suis à distance mon ami Reynald qui me semble bien en forme, passé la Pérousse, je reviens presque au contact dans la descente puis le côte vers la ferme du Contard.

 

Puis je laisse filer progressivement le groupe ou j'étais. Mieux faut ne pas surcharger et rester raisonnable.

 

Passé le stand canin d'Etaule, je vois Lionel Bornel qui me double, alors je me dis que Véro devrait surgir d'un moment à l'autre, lui servant de lièvre un instant avant de m'accrocher à elle pour les 10 derniers km. Perouse2.jpg

 

Cependant, je ne la vis pas revenir et je finis au final en 2h14'04" soit 4' de plus qu'en 2010. Et je perds 5 places au général.

 

Mais bon, nous verrons bien l'année prochaine, je suis déjà bien comptant de l'avoir terminé ce qui était loin d'être fait quand j'ai pris le départ.

 

Maintenant, je poursuis mon entraînement spécial 24 heures, et nous verrons bien les sensations sur le Semi de Nuits dans 2 semaines. 

 

 

PS: Un grand merci à Reynald pour les photos, en espérant que tu dises vrai et que je puisse prochainement te rendre le même service.

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 10:00

Nouveau parcours, nouvelle distance ou nouveau sport ? Changez vos habitudes pour progresser efficacement et devenir plus fort !


 

Vous avez réussi à bien intégrer la course à pied dans votre vie quotidienne et le running vous apporte un certain équilibre. Bref, vous vous sentez bien. Alors, pourquoi changer maintenant ? Tout simplement parce qu’apporter de la diversité à votre entraînement, ne serait-ce que dans la distance ou au travers du parcours, reste le meilleur moyen de progresser. C’est même indispensable !

 
« S’entraîner toujours à la même allure et de la même manière va vous faire inévitablement stagner à un moment ou à un autre. Habituer son corps à faire invariablement le même type d’effort va limiter votre progression, explique Stéphane Doutreleau, médecin cardiologue au service d’exploration fonctionnelle de l’hôpital de Strasbourg. Le principe de l’entraînement est de mettre son corps en état de déséquilibre permanent, pour toujours l’obliger à s’adapter à de nouveaux efforts. En clair, cela ne veut pas dire courir plus, mais courir différemment. Votre corps s’adapte assez vite à l’effort. Diversifier son entraînement, c’est obliger vos muscles et votre système cardiovasculaire à continuellement se réadapter, autrement dit à progresser. »

 

Des études ont montré qu’après seulement trois ou quatre semaines d’un même type d’entraînement, qu’il soit moyen ou intense, les performances atteignaient leurs limites : la VO2 max ne progressait plus, le seuil anaérobie stagnait, la fréquence cardiaque ne s’abaissait plus et la production de lactates ne diminuait plus grâce à l’entraînement. Les spécialistes appellent cela l’homéostasie, un terme savant qui signifie, en simplifiant, que vous corps a intégré (digéré) votre entraînement dans son fonctionnement normal. Un moyen efficace de sortir de cette impasse et de continuer à progresser consiste à « planifier un entraînement structuré et surtout diversifié » conclut Stéphane Doutreleau. En clair, cela signifie de ne pas faire tous les jours le même 10 km, sur le même parcours, à chaque fois que vous enfilez vos baskets. Au contraire, variez votre entraînement, les vitesses et les distances. C’est ainsi que vous progresserez.

 

Changer de route
Dans l’entraînement, le meilleur antidote face à l’ennui est de varier vos parcours. « Évitez de courir toujours au même endroit. À force, le coureur sait toujours où il en est dans son parcours et connaît ses temps aux différents points de passage. Cela engendre une habitude et génère de la lassitude, analyse Samir Baala, champion de France de marathon et coach sportif. Diversifiez les parcours, courez aux sensations sur différents revêtements, sous-bois, routes, chemins… Bref, amusez-vous en vous entraînant ! » Et n’hésitez pas à utiliser des logiciels et Internet pour dégotter de nouveaux parcours (Google Earth, les forums de discussions, etc.).

 

Changer de paysage
Les côtes vont vous muscler et vous rendre plus rapide, sans même parler de la préparation idéale que cela représente pour ceux qui veulent courir des cross. En hiver, c’est le moment de tenter l’aventure. « Profitez des dénivelés pour vous renforcer ! Bosses, montées et descentes vont vous apporter une musculation naturelle. Cela change du parcours plat et vous allez renforcer vos jambes, explique Samir. Ces séances font progresser et vous serez plus fort au printemps. Sur le plan mental, le travail en nature est vraiment excellent. Se battre contre les éléments va vous donner confiance en vous et en votre entraînement. » Tous les parcours des coureurs comprennent forcément quelques montées, allant de la petite bosse à la côte bien raide. Alors, allez-y !

 

Changer la distance
Stéphane Doutreleau recommande d’augmenter progressivement le kilométrage hebdomadaire, une fois par mois. Après 4 semaines environ, la progression s’arrête car le coureur a atteint un plateau. « Augmentez progressivement le kilométrage de mois en mois, analyse-t-il, vous améliorerez votre capacité de stockage du glycogène et son utilisation par vos muscles. Votre endurance progressera. » Idéalement, chaque mois devrait être composé de 3 semaines au même niveau d’entraînement, et d’une quatrième semaine de relative récupération, avec un kilométrage plus réduit. Puis, recommencez un nouveau cycle, un peu plus intense, en essayant de le diversifier.

 

Changer la vitesse
« Une fois l’endurance bien assimilée, commencez à accélérer sur de petites distances. Pour cela, l’entraînement de type fartlek, en pleine nature, est excellent » annonce Samir. Ces séances de vitesse vont améliorer l’apport d’oxygène aux muscles et vous faire devenir plus fort musculairement. Vous allez également apprendre à mobiliser les fibres rapides de vos muscles. Une séance de vitesse peut simplement consister à accélérer au milieu de votre jogging, pendant quelques minutes. « Mais, le mieux, en hiver, c’est encore de jouer avec le terrain et les obstacles en nature. Vous fractionnerez naturellement. »

 

Changer de sport

Une ou deux fois par semaine, pratiquez un autre sport. La natation ou le vélo par exemple sont excellents. Cela va permettre à votre corps et à votre esprit de faire une pause. Pour Samir, « le vélo est un sport porté qui évite les impacts de la course à pied, sur le bitume. Cela permet de faire de la récupération active en profitant du paysage. » Mais vous pouvez aussi tenter la piscine. La natation est sans doute le meilleur sport. Vous travaillez tous les muscles, sans risque de blessure. « Privilégiez la récupération musculaire, c’est aussi le moment en hiver. Natation et course à pied sont souvent complémentaires et cela évite les blessures. »

 

Changer d’objectifs
Adopter un nouveau type d’entraînement et se fixer des objectifs va vous motiver. Essayez différentes distances et d’autres surfaces, plus courtes ou plus longues, sur chemin ou sur route. Lancez-vous dans le triathlon ou le cross. « Le cross est excellent pour le mental et pour le physique. En plus, vous respirez, en pleine nature, affirme Samir. Vous reviendrez plus fort au printemps et vous serez prêt à attaquer 2009 avec de nouveaux objectifs. 

 

 

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 19:21

Plus que 2 séances Samedi et Dimanche, et j'entâme enfin mon plan d'entraînement spécifique 24h.

 

Grâce aux judicieux conseils de mon mentor, me voilà rassuré, j'ai à nouveau retrouver le plaisir de courir et pour l'instant, je ne ressens plus de douleurs.

 

Maintenant, il me faut réapprendre à courir doucement, c'est fini de jouer les kakous par monts et par vents, j'ai un objectif à réaliser et ferais tout pour y arriver.

 

Trouver 1h30 en semaine ne sera pas chose aisé mais je ferais de mon mieux.

 

En attendant, je suivrais avec envie tous les résultats de mes amis, et j'aurais une forte pensée le 27 Mars du côté du Ventoux.

 

Je ne suis pas sur que mon plan lui aura été profitable mais je l'espère, et puis j'ai confiance, je sais de quoi il est capable même si ce n'est guère son terrain de prédilection.

 

Maintenant, il me faut penser aussi à moi.

 

J'espère que mon amie de l'est réussira sa performance sur son Semi le 17 Avril.

 

Mes articles seront sans doute plus éparses, faute de temps, mais pour courir 24H, nous devons être prêt à faire quelques sacrifices.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 17:13

Lundi soir, sortie VMA au programme, 30' de footing et 2 séries de 5 fois 600m à 14 km/h.

Ce soir 1 heure de footing avec le club, je pense être à nouveau capable de suivre le rythme et ne pas trop les ralentir.

Demain au programme, 30' de footing puis 2 fois 10' au seuil.

 

Samedi sortie d'1h15 et dimanche 1h30.

 

Cette semaine, je suis encore trop faible pour atteindre l'obejectif des 150 km par semaine.

 

C'est partie remise à partir de lundi 28 février, pour arriver à cette objectif, je pense qu'il va falloir que je me lève vers 4h00 afin de faire 1 heure de footing le matin avant le travail puis une séance l'après-midi.Ce sera plus gérable mais surtout moins traumatisant.

 

J'ai de plus en plus envie d'être prêt pour les Championnats de 24H et faire ainsi honneur aux couleurs que je porte depuis plus de 6 ans.

 

Je n'ai rien à craindre puisque mon mentor des longues distances sera là, je m'appuierai sur son expérience et son savoir.

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 18:10

Vendredi après midi, 30' de footing et 3 fois 5' à 14 km/h. On revient peu à peu mais les courbatures sont encore là.

 

Ce matin, sortie d'1h30 sur route et sentier en sous-bois, 16,5 km, je sens la forme revenir car dans les parties en sous bois, ma foulée plus courte pour assurer de ne pas chuter.

 

Après l'averse de cette nuit, j'aurais du me méfier et mettre les trails car le sol était assez gras, mais j'ai réussi cependant à maintenir une vitesse de 10 à 10,5 dans les côtes.

 

Maintenant que le rythme est revenu un peu, il va falloir monter en volume pour arriver progressivement à courir entre 150 et 175 km par semaine.

 

Programme assez dur à réaliser en 5 jours à moins de courir matin et soir.

 

Il me faut trouver entre 2 à 3 heures par jour à moins de courir moins longtemps mais 7 jours sur 7.

 

Réflexion faite, je pense que 5 fois par semaine, ce n'est pas si mal, mais avec la pluie qu'il annonce cette semaine, cela risque dur pour courir en sous bois une telle distance.

 

Le choc sur le bitûme risque de réveiller les blessures, alors que faire?

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